Chez la sportive, les conséquences d’une mauvaise alimentation peuvent être multiples : baisse de la performance, manque d’énergie, mauvaise récupération, risque de blessures et d’hypoglycémie, etc. Son alimentation doit donc couvrir les besoins liés aux grandes dépenses d’énergie et apporter tous les nutriments dont l’organisme a besoin pour performer et récupérer.
L’importance du petit-déjeuner
La joueuse doit débuter la journée par un petit-déjeuner consistant. Les jours d’entraînement, match ou tournoi il doit être programmé 1h30 à 2h avant le début de ce dernier. Son contenu n’a rien d’original : un apport hydrique (eau, pur jus de fuit…), un laitage, une portion de fruits et des sucres lents (pain complet, céréales…).
Repas du midi
L’impératif est de consommer des aliments très digestes : une salade de riz, du taboulé ; éviter les graisses, les fibres (fruits, crudités) ; des aliments faciles à consommer peuvent être conseillés : des wraps, des sachets de compote, du gâteau de riz ou de semoule, du cake sucré ou voici une recette de cake salé .
Après les match
Ce troisième temps est propice à la régénération globale de l’organisme. Capital donc !
Particulièrement, lorsque la joueuse enchaîne entraînements et compétitions – semaine après semaine – et que la fréquence de l’effort à fournir est élevée.Les besoins de l’organisme après un match ou un tournoi, diffèrent des autres phases (attente et effort).
On peut privilégier les bananes, oranges, le chocolat et boisson isotonique